L’objet de ce colloque était de revenir sur les relations entre libertinage et politique à l’âge classique, du temps des érudits à celui de Sade. Les historiens conviés à cette journée ont analysé les effets de la pensée libertine sur la théorie politique qui se développe autour de la Monarchie Absolue et se sont interrogés sur les statuts successifs du libertin dans les textes littéraires et philosophiques.
En collaboration avec l’université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines et l’université Paris-Sorbonne.